Garage de réparation en 1923 | Années d’après-guerre | 1970 |
Grenier et charpente ; 300 m2 de toiture protègent cet immense volume. On note l’arrivée de la cage d’escalier avec ses parois en torchis d’origine qui seront conservées.
Marcel MEIZE qui a assuré avec l’entreprise familiale les chantiers de charpente, couverture et maçonnerie vérifie la mise en place de l’épi de toiture.
Vu depuis le parc du château, un ensemble de toits où apparaît la maison (à droite du clocher).
Les origines de propriété étaient bien renseignées sur l’acte de vente et ont permis de remonter jusque vers 1830, date à laquelle la maison a fait l’objet de travaux de remaniement et de reconstruction vraisemblablement importants qui ont abouti à la configuration actuelle. La maison est construite sur des bases plus anciennes comme en témoigne l’entrée de la cave. Elle a subi une réfection d’enduit au ciment au début du XXe siècle, état dans lequel les propriétaires l'ont reprise en 2002.
Reprise partielle de la charpente en conservant sa souplesse. Remplacement des tuiles existantes par des tuiles provenant de la dernière tuilerie de Haute-Vienne. Choix de tuiles à ergots décalés évitant l’alignement trop strict du bas des tuiles (type restauration). Remplacement des châssis de toit par des châssis en fonte d’aluminium de très belle facture (marque CAST). Mise en place d’un épi de faîtage en terre cuite, analogue à celui de la maison voisine.
La maison était dans cet état depuis des décennies. Lors de son acquisition, elle portait les stigmates de l’ancienne station service. La maison a perdu sa gangue de ciment et respire à nouveau. Sa voisine immédiate date du XVe siècle ; l’ensemble est nettement plus équilibré ainsi.